Samedi 31 juillet, dernier jour du festival des Voix vives. Carte postale 3.
Ce samedi matin, au pied de l’église St Louis, les légères bulles sonores du handpan de Laurent Sastre accompagnaient les mots de Amina Saïd, « Nous peignons le monde aux couleurs de notre mer intérieure », « Nous ne sommes qu’un fragment du réel » …
Ces rencontres vives des voix méditerranéennes s’achèvent. La ville quitte scènes et pavois. Elle retrouve sa poésie portée par cette image : « Le monde comme un poème et le poème comme une image du monde »(Amina Saïd).